voilà ca commence, bientot on va tous se promener sur les autoroutes a 40 km/h avec des Hammers tous de la meme coleur, 400 metres de distance de securitè garantis par un systeme de calcul de distance automatique et habillé full motocycliste, inclus le casque, dans ce cas la la prime va baisser de 38,333333333% ou au contraire, tu ne veut pas faire cela ? ta prima va augmenter de 58%
Bien sur tout le monde sera connecté a Facebook
MATHIEU PERREAULT
La Presse
Industrielle Alliance et Desjardins offrent toutes deux une assurance modulée selon la conduite du client: s'il fait des excès de vitesse ou des freinages et accélérations brusques, sa prime augmente.
Les habitudes de conduite
Une boîte noire contenant un GPS et un accéléromètre enregistre les données et les envoie plusieurs fois par jour à la compagnie d'assurances. Pour les excès de vitesse, par exemple, la vitesse est calculée chaque minute, en mesurant la distance parcourue pendant une seconde. Ensuite, elle est comparée à une carte des limites de vitesse colligée par le ministère des Transports. Selon Paul-André Savoie, président de Baseline Telematics, la firme qui analyse les données pour Industrielle Alliance, chaque compagnie d'assurance a un degré de tolérance pour les excès de vitesse. «Par exemple, sur l'autoroute, un excès de vitesse est comptabilisé à partir de 118 km/h, comme le fait la police. En ville, c'est plutôt 60 à 65 km/h.»
Pour les accélérations et les freinages brusques, un accéléromètre comptabilise ces travers, qui indiquent généralement une conduite risquée ou à tout le moins impulsive. Pour les motocyclistes, Baseline a de plus imaginé un accéléromètre mesurant la force centrifuge, pour détecter les conducteurs qui prennent les tournants à haute vitesse.
Desjardins offre un rabais aux automobilistes qui ne prennent pas le volant la nuit et le moins possible durant les heures de pointe. «La nuit, il y a de la fatigue et on voit moins bien; c'est le moment le plus risqué de la journée», explique Denis Côté, vice-président, commercialisation chez Desjardins Assurances. «Et durant les heures de pointe, il y a plus de risques d'accident.» La prime diminue également si l'automobiliste se sert peu de sa voiture.
Par ailleurs, Baseline vient de conclure un partenariat avec le géant des bases de données SAP, pour détecter d'autres facteurs de risque dans les habitudes de conduite dans les téraoctets de données glanées chaque jour par les boîtes noires des automobilistes.
Jusqu'Ă 25% de rabais
Les premiers clients d'Ajusto de Desjardins, lancé ce printemps, et de Mobiliz d'Industrielle Alliance, lancé en 2012, sont des jeunes, des automobilistes ayant eu plusieurs accidents et des automobilistes, au contraire, très prudents. «Les prudents sont tannés d'avoir des primes plus élevées à cause des autres», explique Paul-André Savoie, président de Baseline Telematics, la firme qui analyse les données pour Industrielle Alliance. «Les jeunes peuvent échapper aux primes très élevées de leur groupe d'âge. Et les automobilistes qui ont eu plusieurs accidents et ont décidé d'être plus prudents peuvent bénéficier plus rapidement de leur changement d'attitude au volant.»
Ajusto permet une baisse de prime allant jusqu'à 25%, avec un calcul sur une base annuelle. Mobiliz, dont les primes sont calculées chaque mois, prévoit un rabais allant jusqu'à 25%, mais aussi une pénalité pouvant doubler la prime pour les conducteurs délinquants. Dans les deux cas, les clients peuvent voir ce qu'on leur reproche en consultant un site internet sécurisé.
«Il y a eu plusieurs tentatives de lancer des produits similaires, mais la technologie n'était pas prête», explique Denis Côté de Desjardins Assurances. «Il fallait installer les appareils dans un magasin spécialisé. Maintenant, le client peut le brancher lui-même en cinq minutes.»
Paul-André Savoie, pour sa part, considère que son système est le prolongement naturel de sa carrière. Dans les années 90, il avait lancé Boomerang, un système de repérage des voitures volées par GPS qui avait fait fureur auprès des compagnies d'assurances. «La télématique, c'est l'avenir de l'assurance automobile», conclut l'homme d'affaires de Québec.
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Un jugement au service de la télématique
Depuis l'an dernier, les assureurs européens n'ont plus le droit d'offrir des primes moins élevées aux femmes qu'aux hommes. C'est une décision de la Cour européenne de justice, en 2011, qui a interdit le recours au sexe dans l'établissement des primes d'assurance automobile. La décision faisait suite à la plainte d'une association de consommateurs belges. Les assureurs automobiles ont fortement réagi et un rapport d'Ernst&Young a évalué que leurs profits baisseraient de 2% parce qu'ils pourraient difficilement augmenter les primes des femmes pour compenser la baisse des primes des hommes. Plusieurs voient la télématique comme la solution au problème, selon Paul-André Savoie, de Baseline Telematics. «Ce jugement a beaucoup aidé la télématique», dit-il. Ça remplace vraiment bien le sexe pour l'évaluation du risque. À mon avis, éventuellement, on pourra même se passer de l'âge.»
L'oeil nous observe, Goerge Orwell 1984
L'oeil nous observe, Goerge Orwell 1984
J'ai pensé la même chose quand j'ai lu l'article.
Toute l'idée derrière cette technologie est que la vitesse serait la cause pricipale des accidents alors qu'elle n'est qu'un facteur aggravant. C'est désolant.
Ride Safe!
Ceux qui ont sauté sur ce nouveau "gadget" n'ont peut-être pas bien capté toute la dimension à quel point c'est une véritable laisse électronique
Encore 2 ou 3 pas et ce sera l'eugenisme pour la fixation des primes d'assurace
Pour ma part, je vais résister a ca le plus longtemps possible.
8
Ceux qui ont sauté sur ce nouveau "gadget" n'ont peut-être pas bien capté toute la dimension à quel point c'est une véritable laisse électronique
Encore 2 ou 3 pas et ce sera l'eugenisme pour la fixation des primes d'assurace
Pour ma part, je vais résister a ca le plus longtemps possible.
8
+1 Ce que je crains, c'est le jur où les assurances chargerons systématiquement plus cher à ceux qui refuseront de se faire épier. Ils nous diront : "Si vous n'avez rien à vous reprocher, pourquoi vous cacher" Je la vois venir celle là ...
Effectivement, ce système va un peu trop loin!
Moi je trouve cela très intéressant, je fais parti des très prudents je dois avouer. Je vais m'informer, merci de m'avoir fait connaître cette nouvelle méthode.
Shovel :-)
Au nom du "terrorisme", le gouvernement et la police voudront avoir accès à ces données, tout ça dans le plus grand secret.
On pourra aussi envoyer de la publicité ciblée, selon les endroits où vous aimez circuler.
Ceux qui ont sauté sur ce nouveau "gadget" n'ont peut-être pas bien capté toute la dimension à quel point c'est une véritable laisse électronique
Encore 2 ou 3 pas et ce sera l'eugenisme pour la fixation des primes d'assurace
Pour ma part, je vais résister a ca le plus longtemps possible.
8+1 Ce que je crains, c'est le jur où les assurances chargerons systématiquement plus cher à ceux qui refuseront de se faire épier. Ils nous diront : "Si vous n'avez rien à vous reprocher, pourquoi vous cacher" Je la vois venir celle là ...
J'appuie! On mère le monde par la peur
Je pense que si tu roule pas plus vite que les limites, si tu freine pas à dernière minute parce que t'arrives trop vite à une place, tu peux être récompensé, c'est cool pour moi, c'est ma conduite, si je peux sauver en assurances, tant mieux :-))))
C'est un choix aussi, t'embarques ou pas, rien n'oblige, c'est juste les assurances :-)
En tout cas c'est ma conduite depuis toujours à moto, celle qui serait récompensée, je ne vois pas pourquoi je ne sauverais pas.
Merci encore d'avoir fait découvrir :-)
Shovel !
ca c'est un autre danger de ces systemes, convaincre le monde qui "ne connais pas trop" que rouler lentament ca veut dire etre en securitè oufffffffff quelle illusion ........ c'est exactement le contraire ouffffff
NON, LA VITESSE NE TUE PAS ! >- - - - - - - - - - - - Vous en étiez là - - - -- - - - - - - - - - < On n'en est certes plus à la croissance régulière qui prévalait jusqu'en 1972, mais le bilan stagne depuis quelques années. La vitesse est désignée comme le fléau principal. En fait, la vitesse par elle-même n'est pas une cause d'accident, mais elle constitue une cible idéale. En effet, c'est l'argument le plus parlant, elle est facile à mesurer, et elle frappe plus les imaginations que l'alcool au volant, la vétusté des véhicules, l'inexpérience des conducteurs ou leur irresponsabilité. En cas d'accident, elle est sans aucun doute un facteur aggravant et, quelle que soit la cause première de l'accident, c'est toujours en fonction de la vitesse que sont mesurées la force de l'impact et les conséquences sur le véhicule et ses passagers. Enfin, la pénalisation de la vitesse permet de remplir les caisses de l'État avec une efficacité remarquable tout en lui donnant bonne conscience. La répression a donc été mise en place, il y a 18 ans. Pour la justifier, on cite des statistiques péremptoires (on serait tenté de dire plutôt : préemptives) et l'on désigne à la vindicte populaire le moindre excès de vitesse, même s'il ne dure que quelques secondes, et même si le passé de son auteur, à travers le dossier détenu par son assureur, prouve qu'il ne s'agit pas d'un conducteur dangereux. S'ils s'en donnaient la peine, on s'apercevrait que la loi est faite surtout pour protéger le conducteur du dimanche des risques d'accident qu'il est susceptible de provoquer lui-même. Démarche démagogique s'il en est envers l'usage familial de la voiture, instrument de liberté au service d'un électeur incidemment pourvoyeur du fisc. Heureusement, il existe quelques bilans qui permettent d'infirmer les thèses officielles. Cette contradiction et ce flou incitent déjà à recueillir avec réserve les assertions officielles. Celles-ci attribuent à la vitesse, comme à l'alcool, la responsabilité de 30% des accidents graves, selon la Sécurité routière, et de presque 50% pour le ministère des Transports. Qui croire ? D'ailleurs l'analyse du mode d'élaboration de ces statistiques laisse vite un sentiment de gène, même si on n'est pas un spécialiste de la question. Tout se passe comme si la responsabilité de la vitesse était considérablement et artificiellement majorée. Au lieu de cela, on a nivelé par le bas, pénalisant ainsi les conducteurs confirmés, car on oublie trop souvent qu'il y en a, et beaucoup. Pour eux, la vitesse n'augmentait certes pas les risques. Un vieux principe juridique est qu'une loi qui n'est pas respectée doit être supprimée. Or, malgré la pénalisation actuelle de l'excès de vitesse, l'augmentation considérable du trafic et le développement des autoroutes font que pratiquement toutes les voitures dépassent largement les limitations. Les sanctions ne s'exercent donc qu'au hasard. Force est donc de constater que la répression de la vitesse n'a pas l'effet que prétendent les pouvoirs publics. Comment en serait-il autrement quand cette répression s'exerce la plupart du temps en des lieux ou la vitesse n'est pas dangereuse : descentes, zones droites et dégagées (mais cinémomètre masqué par une pile de pont !) ? Voire en des circonstances ou, paradoxalement, elle concourt à la sécurité : dépassement le plus rapide possible pour dégager la voie ? (1) Il s'agit, essentiellement, des débutants ou des conducteurs peu expérimentés, des personnes ayant une mauvaise vue, des conducteurs âgés, des possesseurs de véhicules mal entretenus, voire d'épaves roulantes, des détenteurs de malus importants (c'est-à -dire les habitués des sinistres, même sans gravité), etc. (2) Association générale des sociétés d'assurances contre les accidents (3) A propos de fatigue, un sondage effectué en janvier 1986 par la SOFRES révèle que 25% des usagers de l'autoroute affirment ne pas faire de pause repos sur des parcours compris entre 250 et 400 km ! On se demande dans ces conditions comment les accidents ne sont pas plus nombreux. (4) REAGIR : initiales de Réagir par des enquêtes sur les accidents graves et les initiatives pour y remédier, programme lancé à partir de 1983 afin de cerner avec un maximum de précision les causes des accidents. |
A QUOI SERVENT LES RADARS ? Le nombre d'heures par an passées par la gendarmerie à contrôler la vitesse des automobilistes n'influe pas sur le nombre d'accidents corporels sur le réseau contrôlé : à un relâchement important de la surveillance en 1978 (-8,9%) correspond une diminution spectaculaire des accidents (-6,5%) ! Et en 1978 et 1988, le déploiement des radars se traduit par une aggravation de l'hécatombe. |
LA CEINTURE, PAS LES LIMITATIONS DE VITESSE. La baisse régulière du nombre d'accidents corporels et de tués de la route, depuis une vingtaine d'années, est attribuée à tort aux limitations de vitesse, entrées en vigueur en 1973. Cette baisse a commencé, en fait, un an plus tôt, dès juin 1972, date à partir de laquelle le port de la ceinture de sécurité est devenu obligatoire. |
PLUS ON ROULE VITE, MOINS CA CASSE ! Excès de vitesse et nombre d'accidents, sur l'ensemble des routes, ne sont pas du tout corrélés ; dans les 2/3 des cas, ils varient même en sens opposés. Sur les départementales (2), ces chiffres ne suivent la même évolution qu'en 1986. Et, sur les nationales (3), les gros excès de vitesse augmentent, en 1987, de plus de 15%, alors que le nombre d'accidents baisse de plus de 8%. Cette même année sur les autoroutes de liaison (1), les excès de vitesse grimpent de 50%, et les accidents corporels n'augmentent que de 0,3%. Enfin, en 1990 pour les petites agglomérations (4), on note une opposition flagrante de l'évolution de ces deux données. |
MEME L'ITALIE FAIT MIEUX QUE NOUS ! (La maxime sur la paille et la poutre dans l'oeil, vous connaissez?) On fait souvent référence à l'Allemagne pour dénoncer l'indiscipline des Français sur la route. Pourtant, si l'on dresse le bilan de l'insécurité routière en France et en Italie, deux pays auxquels on accorderait a priori le même tempérament latin, les chiffres donnent à réfléchir... Les deux pays sont comparables du point de vue du parc et de la législation. Un peu plus de voitures en Italie (23,5 millions contre 21,1 millions) mais beaucoup plus de motos (2,2 millions contre 0,8). 313 milliards de kilomètres parcourus en France, contre 296 en Italie. Une vitesse limitée à 130 km/h sur autoroute dans les deux cas, mais à 110 km/h pour les petites cylindrées en Italie pour un réseau autoroutier analogue. Toutefois, le réseau est deux fois moins long en Italie, ce qui implique une densité de circulation deux fois plus forte, donc plus d'embouteillages ; un port de la ceinture obligatoire depuis 1989 (port du casque en 1986), un taux d'alcoolémie maximum toléré de 0,8/g par litre de sang en France ; non spécifié en Italie. Et une indiscipline présumée plus débridée en Italie... Voire ! A la lecture de ce qui précède, on s'attendrait à ce que l'automobile soit moins meurtrière en France. Pourtant... En 1972, en l'absence de toute réglementation limitative, le nombre de morts sur les routes a atteint son maximum dans les deux pays, mais il était de 57% plus élevé en France. Aujourd'hui, la surmortalité en France est supérieure de 22% le jour mais ce taux grimpe à 60% la nuit ! Tous paramètres égaux par ailleurs, on dénombre en France 31% de plus de tués parmi les piétons, 5% de moins à vélo mais 28% de plus parmi les cyclomotoristes et trois fois plus à moto. Si l'on additionne les piétons, les cyclomotoristes et les motocyclistes, on dénombre deux fois plus de tués en France qu'en Italie, et la proportion de morts dans le total des victimes (blessés plus tués) est 40% plus élevée. En France, on s'aperçoit, notamment, que 85% des piétons tués en agglomération le sont hors intersection, donc hors des passages protégés, et succombent à leur indiscipline. Parmi les usagers de la voiture, on dénombre 1,63 tué pour 100 millions de kilomètres parcourus en Italie, contre 2,94 en France ! Le nombre de tués dans des collisions en intersection est à peu près le meme pour les deux pays, mais l'écart se creuse dramatiquement pour les accidents hors intersection : 9,6 tués pour 100 km de voiries en France, contre 4 en Italie. Il s'agit, pour l'essentiel, d'accidents à un véhicule seul ou avec un piéton et, tout comme pour la recrudescence des accidents la nuit en France, il faut y voir l'influence de l'alcool : le Français consomme en moyenne 13 litres d'alcool pur par an et par habitant, alors que l'Italien n'en consomme que 10. La France peut se prévaloir d'un bilan plus satisfaisant seulement sur autoroute : 0,93 tué par million de kilomètres, contre 1,3 en Italie. Mais il y a beaucoup plus d'autoroutes désertes dans l'Hexagone (autoroute de l'Est, autoroute Blanche) que dans la Péninsule. |
Ben m a rouler plus vite si c est pas dangereux. Ca fait juste depuis 1987 que je fais de la moto c est vrai que "je ne connais pas trop" :-)t max tu me fais rigoler.-)))
Cette option plaît aux nouveaux conducteurs à qui les compagnies d'assurances chargent les primes au max en partant. On leur fait miroiter que le montant de leur prime peux baisser.
Ce n'est pas nécessairement interressant pour les conducteurs "plus expérimentés" qui ont déjà une prime réduite et qui pourraient la voir augmenter sous toutes sortes de prétextes.
Non merci, pas pour moi.
Non merci, ou sera le plaisir de conduire, si c'est pour se suivre à la queue, le cerveau dans le coma à ne pas avancer à rien, non merci. Ça ne sera plus la répression policière qui va dicté la conduite de véhicule, mais les assurances avec la répression finacière. J'imagine que les personnes ni ne voudrons pas de patente comme ajustot, aurons une surprime, même si c'est le meilleur conducteur au monde. Si ou quand le système sera définitivement implanteur, préparez-vous, à la minute que vous dépasser de un ou deux k/hrs la vitesse permise, vous avez un prime suplémentaire et non une réduction. Prévoyez des heures de pointe interminable, vous devez suivre la vitesse de la pancarte, les grande ville, 30, 40 et 50 kilomètres heures, pas plus, et Montréal à Québec c'est 100 kilomètres heure, c'est pas 105, pas 110 ou 115 k/hrs, si non pas de diminution de prime. D'ailleurs, ont éparge 5, 10 ou 15% de quoi, sur la base de quoi, puisque chaque cas n'est supposément pas identique! Alors embarquez là dedans, roulez pépère et vous aurez aucun plaisir à conduire et par contre vous aurez le temps de jouer avec toutes les bébelles dans le véhicule, en plus du cell et le texto.
Si c'est l'avenir de la conduite de véhicule, j'abandonne et je par en vélo, ça va aller plus vite et mieux. Je serais le pire délinquant.